Projet de Cuivre de Kamoa

– Gisement non découvert pendant 100 ans d’exploration

– Une mine vierge à géologie simplifiée 

La minéralisation de Kamoa

Michel Dufresne, Vice-président Projets d’Ivanhoe Mines (avec plus de 25 années de développement et une expérience opérationnelle dans les mines à Collahuasi, Sudbury, Koniambo, Kidd Creeket Raglan), été dépêché à Kinshasa par la haute direction de la société pour présenter publiquement les projets en développement en RD Congo par son groupe, a renseigné en fin de matinée du jeudi 10 octobre, dans la salle de conférence du FCH sur la particularité dudit projet en ces termes : « … la mine de cuivre de Kamoa découverte en 2008 par Ivanhoe Mines (alors Ivanplats), est une zone explorée depuis le début des années 1900, mais dont des indicateurs « typiques » de la ceinture cuprifère manquaient ».

Située à l’extrémité ouest de la Copperbelt rd-Congolaise (en Afrique centrale) dans l’Eldorado Katangaise, les gisements miniers de Kamoa sont des mines du sous-groupe qui se produisent sous forme de méga fragments de 100 à 1000 mètres dans la taille, dans les méga brèches ; et dont les scènes principales de minéralisation sont antérieures au pliage et brèches.

La minéralisation est du type outcropping d’oxyde de cuivre de la ceinture de cuivre en RDC.

A en croire ce technicien canadien, spécialiste en développement de projets miniers, les études de faisabilités terminées en 2012 par Ivanhoe Mines indiquent clairement que le projet de Kamoa reste à ce jour « l’unique et la majeure découverte minière » de cette Copperbelt. Une zone restée inconnue depuis tout un siècle d’exploration. Le plus grand gisement de cuivre à haute teneur à l’échelle mondiale, et peu développé ; mais positionné pour devenir un producteur mondial de cuivre à faible coût, avec des teneurs minières annuelles attendues jusqu’à 4,3% de cuivre dans les premières années de production.

La stratigraphie et minéralisation de Kamoa

Le changement fondamental dans l’architecture redox à Kamoa, contrôlée par pincement en rupture de ​​bloc du groupe Roan en sous-sol est adjacent à la rivière Nzilo. Le plus bas redox à Kamoa est entre le grand conglomérat et la zone de Mwashia.

Dans la mine de Kamoa, la section initiale de forage au diamant réalisée en Août 2008 a été identifiée à environ 6 km doucement de minéralisation de cuivre à la base de grand conglomérat en pendage ouest. Le zonage de minéralisation montre une continuité latérale et verticale des minerais autochtones de caractéristique de dépôts de schiste (Kupferschiefer analogue)

Kamoa, une mine vierge à géologie simplifiée

La concession du Projet  de Cuivre de Kamoa est située dans une région à cheval entre deux groupements gouvernés par deux Chefs, Musokantanda et Mwilu. Le gisement cuprifère de Kamoa n’a jamais connu une quelconque exploitation minière, ni moins artisanale soit-elle. Les épaisseurs réelles du tissu sont de 2,4 à 18 mètres, et à moyennes de 5,2 mètres. Sa minéralisation de haute qualité de bornite-chalcocite est dominant à l’Est de la zone, et ouvert en aval pendage de l’expansion. Les données techniques indiquent que les ressources minérales ont été effectives en Décembre 2012. Les ressources minérales sont rapportées avec un total de cuivre de la teneur de coupure de 1% Cu et une épaisseur minimale d’exploitation supposée de 3 mètres. A 1% teneur de Cu, la coupure est typique des dépôts analogiques en Zambie.

D’après le V/P Projets d’Ivanhoe Mines, en octobre 2013, des progrès importants ont été réalisés sur le terrain, y compris des études pour  le développement des infrastructures industrielles. Le rapport des études produit par la firme Hatch qui a été nommée conseiller principal parmi les consultants impliqués dans différentes études de faisabilités, d’optimisation, d’actualisation et de consolidation de données minéralogiques, en collaboration avec les autres à l’instar d’AMEC Resource, Dr. Harry Parker, Mine Geotechnical – SRK Vancouver & SA, Mine Design , Stantec USA, Process Plant, Tailings – Golder, ESHIA – Golder, Overall QP, Bernie Peters et AMC Australia pour le rapport minéralogique connu sous le nom de NI 43-101.

Par ailleurs, Michel Dufresne a rappelé et, même insisté sur les divers accords signés par son groupe avec le Gouvernement rd-Congolais en rapport avec les exigences électriques dont a besoin les projets miniers en cours de développement à Kamoa et à Kipushi.  Un autre protocole d’accord venait d’être signé en Avril 2013 dernier par les deux parties. Celui-ci concerne la réhabilitation d’une troisième centrale hydroélectrique, celle de Nzilo.  A cet effet, le chronogramme des activités est désormais élaboré et les fonds disponibles pour le démarrage effectif des travaux sur le terrain. Sauf imprévu, les scénarios actuels des travaux de construction de la mine et de réhabilitation des centrales hydroélectriques démarrent déjà dès le premier trimestre de l’année 2014 pour finir en 2017.

A propos de l’Etude d’impact Environnemental, Social et Sanitaire, EIESS, du projet, le V/P Projets a indiqué que l’étude réalisée au départ par les consultants spécialisés, approuvée en 2012 par les autorités congolaises, est actuellement en cours de révision par Ivanhoe Mines. Il devra y intégrer certains aspects nouvellement identifiés sur le terrain par la société, essentiellement ceux relatifs à la fonderie, mais également s’assurer de l’état de l’environnement social dans lequel les opérations de la société se réaliseront. Une révision qui se fait dans le strict respect de l’engagement des parties prenantes pris en mai 2013 et conformément aux règles de la Société Financière Internationale (une structure de la Banque Mondiale spécialisée dans le financement et le développement des projets dans le domaine de ressources naturelles dans les pays du sud). Le résultat de l’étude révisée pourra être présenté aux autorités congolaises au premier semestre de 2014.

AMBL Sprl et la Responsabilité Sociale d’Entreprise (RSE)

Le portefeuille minier de Ivanhoe Mines

Pour Ivanhoe Mines, le principe de la Responsabilité Sociale d’Entreprise signifie aussi tâcher d’aller au-delà de la fourniture simple d’aide aux communautés locales hôtes, et la conformité à la loi. La société va au-delà en se faisant pionnier de projets qui se conforment à la triple ligne de base qui sous-tend les pratiques responsables des  affaires.

Cette approche requiert que le groupe prenne connaissance de la durabilité économique, sociale et environnementale dans la planification et l’exécution des projets sur la responsabilité sociale d’entreprise. Quand les projets sont entrepris dans cette éthique, les risques sociaux sont réduits, la durabilité environnementale est prise en compte et la faisabilité économique optimisée, en créant une situation de gagnant-gagnant pour toutes les parties impliquées dans le projet.

Dans le cadre de cette Responsabilité, conformément aux principes de bonne pratique de la Société Financière Internationale (SFI), en rapport avec la  consultation communautaire, AMBL a initié plusieurs projets de développement durable contenus dans son Plan de développement communautaire, et réalisé des actions importantes. Entre autres, elle a décrit les différentes phases du développement du projet durant les réunions communautaires de l’EIESS tenues en avril-mai 2013 ; à la même occasion avec Golder Associates – spécialiste en la matière -, la société a enregistré les commentaires des membres de communautés sur le développement du projet durant les sessions de consultations ; elle a par ailleurs recruté 5 officiers de liaison dans le Département de la Responsabilité Sociale d’Entreprise et enfin a assuré la participation des femmes et intégré leurs points de vue  dans la consultation pour l’EIESS d’Avril-mai 2013 la société a eu des concertations avec les parties prenantes dès le début de la phase de prospection du projet. En septembre 2012, AMBL Sarl et son consultant Golder Associates ont entrepris des sessions de renforcement des capacités des communautés locales autour du projet.

En 2009, African Minerals Barbados Ltd et Eco-Livelihoods ont approché les leaders communautaires dans la zone d’influence du Projet de Cuivre de Kamoa, (PCK) et ont démarré le processus graduel de la création du projet dénommé « Projet Durable des Moyens de Subsistance de Kamoa » (PDMSK), en vue de créer une sécurité alimentaire durable dans cette zone ledit projet a actuellement dans son actif plusieurs réussites. A cet effet, l’on notera : l’installation effective de 26 comités de développement communautaire, dont la majorité d’entre eux possède un jardin potager communautaire viable ; récolte et vente de 151 tonnes de maïs durant la saison agricole 2013.

Dans un proche avenir, 22 communautés locales seront activement impliquées dans la culture de maïs lors de la saison agricole prochaine avec un objectif collectif de cultiver sur une superficie de 300 hectares. Les communautés qui possèdent un jardin potager viable ont bénéficié chacune d’une assistance dans la conservation de la nourriture et d’une formation d’entrepreneurs pour la vente des produits dont les revenus sont utilisés dans l’amélioration des conditions de vie communautaire, principalement dans les domaines tels que la scolarisation de la jeunesse. Enfin, Ivanhoe Mines, à travers le PDMSK aide les communautés à reconnaitre l’importance de protéine dans la nutrition. A cet effet, un projet d’élevage de la volaille est en train d’être mis sur pied.

Le PDMSK a plusieurs objectifs à court et long termes, et envisage des relations et coopération hautement interactives avec les communautés locales en vue de transformer les communautés locales en des noyaux indépendants autosuffisants et à économie durable.

Le Plan d’Action de Délocalisation-Relocalisation pour les communautaires de Musokantanda et de Mwilu, une urgence pour AMBL Sprl !

Des hauts cadres Ivanhoe Mines en RDC

La concession du Projet de Cuivre de Kamoa est située dans une région à cheval entre deux groupements gouvernés par deux Chefs, Musokantanda et Mwilu. Tous deux soutiennent sans faille African Mineral (Barbados) Ltd pour le développement du projet, inclus plusieurs projets de développement communautaire qui sont en cours dans tous les deux groupements.

Ivanhoe Mines procèdera aussi à la délocalisation et réinstallation d’environs 500 à 600 ménages. Plusieurs communautés des contrées situées autour du projet de cuivre de Kamoa seront affectées par la délocalisation-relocalisation avec le développement du projet. Au niveau actuel de développement du projet, certaines communautés de deux groupements, à savoir Mwilu et Musokantanda, directement affectées devront sans nul doute être délocalisées et relocalisées.

Dans le groupement de Mwilu, les communautés de Mupenda 1 & 2 sont concernées par la délocalisation-relocalisation. Egalement celles de Chamadingi, Kakisa, Kakunda, Kamoa Mission, Kangaso, Kaya, Mmangi, Ndjoni, Sanka 1 & 2 et Wiri (si bien sûr le projet va de l’avant). Et dans le groupement Musokantanda, les communautés de Cité Musoka, Mukanga, Kabulo et Placide/Katayi sont concernées par cette opération. Egalement, si le projet va de l’avant, celles de Ferme Kaponda, Israel, Mundjendje, Muzeya, Kaponda 1 & 2, Quatre jours, Venance et Londorino sont dans la ligne de mire de l’opération.

Ainsi, AMBL s’est engagé de respecter les normes des meilleurs pratiques internationales pour la délocalisation-relocalisation, et se conformera aux lois de la RDC en la matière.  La société s’est également engagée à œuvrer avec le gouvernement de Kinshasa durant tout le processus de délocalisation-relocalisation. Seuls les résultats des études spécialisées de l’EIESS détermineront du besoin et de la nécessité de relocation des communautés qui pourraient être affectées par le développement du projet.

Les communautés potentiellement affectées seront informées préalablement de la prochaine étape au fur et à mesure que le processus évolue.

A propos, la planification des actions de réinstallation (PAR) en est cours sur le terrain. Des actions préalables à réaliser, notamment, le recensement et l’enquête complète pour la réinstallation qui devra être effective en Septembre 2015, le rétablissement de communautés et leurs moyens de subsistance, conformément au processus de la SFI sont déjà identifiées. Toutefois, la planification des actions de réinstallation est intégrée au Plan de développement durable et le programme d’EcoLivelihoods élaboré par AMBL.

Actuellement, Ivanhoe Mines parraine et promeut des programmes sociaux et environnementaux locaux. Il s’agit, entre autres, du Programme de reboisement dont 82.000 plantules ont été cultivé. Ce, en partenariat avec le programme EcoLivelihoods dans la promotion de la durabilité. La société s’investi aussi dans le projet de réhabilitation et de construction des écoles également dans la remise des fournitures scolaires aux écoliers des communautés locales, à l’instar de l’école de Musokantanda, etc.

Assurer les soins de santé de qualité à Kamoa et ses environs, une priorité pour AMBL Sprl !

Le Centre de Santé de Walembasitué dans les environs de la concession du Projet de Cuivre de Kamoa, a connu  des changements significatifs au courant de l’année 2012. Au-delà de la réhabilitation des infrastructures, l’un des défis restants était de trouver une source durable d’électricité pour alimenter le nouvel équipement et fournir de l’éclairage nécessaire surtout pour les interventions nocturnes.

Les plans pour fournir de l’électricité d’une manière permanente ont été élaborés, c’est ainsi qu’en début d’année 2013, AMBL a fait

le don de panneaux solaires d’Humless (une entreprise américaine de fabrication des groupes électrogènes avec  batteries portatives) qui a rendu possible l’utilisation de l’équipement, d’une façon continuelle pendant cette période intermédiaire. Et ladite électricité est fournie sans peine.

Pour Dr John Kalengay, responsable de la Santé sur le site, ces panneaux solaires pourront permettre au staff du centre de santé d’utiliser de manière régulière le nouvel équipement remis par AMBL. Actuellement, un nombre croissant de patients retournent désormais au centre de santé de Walemba pour leurs besoins de santé, du fait que la    nouvelle sur l’amélioration de la qualité des soins disponibles dans cette contrée circule. La disponibilité de ce nouvel équipement a réduit sensiblement la distance que devaient parcourir les femmes enceintes pour des consultations prénatales, du fait que la maternité alternative la plus proche se trouve à approximativement 30 km de Kolwezi

L’emploi des locaux, obligation légale et objectif principal d’AMBL Sprl 

Kamoa, un des meilleurs gisements africains

Les sujets relatifs à l’emploi ont été soulevés et discutés durant toutes les rencontres de consultations communautaires entre les parties prenantes. A cet effet, AMBL Sprl s’est engagé à se conformer à la législation du travail de la rd-Congo. Durant la phase initiale de construction, AMBL et ses contractants envisagent d’employer entre 4000 et 7000 personnes sur une base temporaire. Plus de la moitié de ces emplois seront semi-qualifiés et la plupart de ces employés proviendront impérativement des communautés des zones affectées par le projet.

Ainsi, les employés pendant cette première phase qui pourront exceller dans leurs tâches, et qui auront une bonne éthique et potentialité professionnelles seront sélectionnés pour une formation et un engagement contractuel dans la société. Durant la phase opérationnelle du projet, AMBL envisage d’employer entre 1500 et 3000 personnes, dont plus de la moitié seront des ouvriers semi-qualifiés et non-qualifiés. Les niveaux d’études devront être conformes avec les exigences de recrutement.

Selon les responsables du groupe, la cotation d’Ivanplats à la bourse de Toronto (TSX : IVN) en octobre 2012, qui est du reste une mission réussie pour les responsables du groupe, a permis au management de l’entreprise à fixer une nouvelle direction pour la société. Ce qui a conduit la société à aligner dans son actif des faits importants, qui auront marqué l’histoire de la vie du groupe.

Il s’agit entre autres, du début de négociation par Ivanplats à la TSX à la suite d’une introduction en bourse réussie qui a permis à la société de soulever le capital de 308 millions de dollars US Dollars. Le total des capitaux propres émis dans le cadre de son introduction en bourse a été de 504 millions $ US, y compris la conversion en actions ordinaires de 193 millions de dollars Canadiens en obligations pré-introduction en bourse.

Cette introduction en bourse fut la plus grande des introductions par un minier canadien depuis l’année 2010. Ainsi la voie tracée par Ivanhoe Mines (alors Ivanplats) apparait comme un développement axé sur la compagnie publique qui a abouti à l’adoption du nom d’Ivanhoe Mines en Août 2013.

Ivanhoe Mines est une société de droits canadiens, fondée en 1994 par M. Robert Friedland. Elle est cotée à la bourse de Toronto (TST : IVN) depuis l’année 2012. Le total des capitaux propres émis dans le cadre de son introduction en bourse a été de 504 millions $ US, y compris la conversion en actions ordinaires de 193 millions de dollars Canadiens en obligations pré-introduction en bourse. Ivanhoe Mines est détentrice de sept Permis d’Exploitation (7 PE) de Cuivre et Zinc dans la copper belt Katangaise, plus précisément à Kamoa et Kipushi (RD Congo).

Depuis près d’une génération, Ivanhoe (alors Ivanplats) a développé efficacement ses principaux atouts dans les domaines miniers de l’Afrique. Actuellement, le canadien Ivanhoe Mines est très actif en Afrique avec des opérations diversifiées sur le continent.

En Afrique centrale, plus précisément en RD Congo, particulièrement dans la copperbelt Katangaise, le groupe s’est investi dans l’exploration minière depuis l’année 2003. Actuellement, il est en plein développement de l’ambitieux Projet Cuivre de Kamoa (Kolwezi) un gisement  à l’échelle mondiale découverte depuis 2008, après 100 ans d’exploration), au Nord-Est de la riche Province du Katanga), où il est détenteur de 100% des parts du capital.      Pour la mine à l’échelle mondiale découverte à Kamoa, une équipe de développement éprouvée avance sûrement dans les projets clés pour la réalisation des aspirations du peuple congolais, mais surtout et particulièrement pour des populations  vivant dans les communautés situées dans la zone d’opération.

Aussi, Ivanhoe Mines est propriétaire de 68% des parts du capital et la Gécamines, société du portefeuille rd-congolais 32% dans le projet d’exploitation de l’ancienne mine du Cuivre-Zinc à Kipushi, toujours dans la même Province. En République Sud-Africaine, le groupe canadien détient 90% des parts dans son projet Platreef, dénommé PGE-gold-nickel-copper. Au Gabon également, le groupe s’investit dans le projet d’exploration de l’or où il détient le 100% des actifs.

Lancé en 1994, le groupe a commencé ses activités sur terrain avec le projet d’exploration de l’or à Platreef (RSA). Une découverte d’éléments du groupe platine, le nickel, le cuivre et l’or sur la branche Nord du complexe Bushveld en Afrique du Sud, qui contiennent les réserves de flatreef. Une zone minéralisée à haute teneur découverte en 2010, étendue sur un terrain plat, légèrement en pente, une portion de Platreef et potentiellement propice à une exploitation minière souterraine par des méthodes de mécanisation de la haute technologie.

Août 2013, Ivanhoe Mines a repris son statut actif et retourné au rang des sociétés cotées à la bourse de Toronto, après que le Conseil d’administration ait décidé d’adopter la nouvelle identité d’entreprise « Ivanhoe Mines New Horizons ». En Août 2012, Ivanhoe Mines (nom d’origine après avoir porté le nom d’Ivanplats jusqu’en début d’année 2013) est renommé, et devient « Turquoise Hill Resources ». Entre 1994 et 2004, Ivanhoe Mines s’était imposé comme un minier important et explorateur en Asie et Asie-Pacifique sur 18 ans d’expériences dans l’industrie minière, avec des cotations sur différentes bourses, notamment le Toronto Stock Exchange (TSX) (Canada), New York Stock Exchange (NYSE) et au NASDAQ Stock exchanges aux Etats-Unis d’Amérique.

Ivanhoe Mines a hérité d’Ivanplats le patrimoine essentiellement de 19 ans d’expériences en tant qu’entreprise minière opérationnelle en Afrique, avec des capacités exploratoires exceptionnelles. L’entreprise construit la culture internationale d’exploration.

Par Néville Mbuyi Mwana

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